Pourquoi continuer de photographier
alors que l’image est partout ?

Tous les sujets sont abordés ou presque, l’espace de l’image est saturé.

Mon propos est autre. Il n’est pas que photographique, il est une quête poétique, une captation du sensible, de l’éphemère ; l’oeil ouvert aux hasards qu’offrent notre quotidien.

une interrogation philosophique et parfois abstraite sur un monde dont les espaces en continuelles mutations m’amène à visiter l’immatériel, ré-interroger le naturel, saisir nos empreintes en laissant toujours à l’autre l’espace et la liberté du questionnement.

 

La sérendipité, découverte par chance et[2] sagacité de résultats pertinents que l’on ne cherchait pas, se rapporte au fait assez courant d’observer une donnée inattendue, aberrante et capitale (« stratégique ») qui donne l’occasion de développer une nouvelle théorie ou d’étendre une théorie existante.

— (Robert King Merton, Éléments de théorie et de méthode sociologique, traduit par Henri Mendras, Librairie Plon, 2e édition, 1965, p. 47)